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(image pikisuperstar via Freepik)

1,8 million de décès dus au Covid-19 à la date de début janvier 2021, dont 351 000 aux USA, 196 000 au Brésil, 150 000 en Inde, 127 000 au Mexique, 75 000 au Royaume-Uni et autant en Italie, 51 000 en Espagne, 35 000 en Allemagne… En France, ce sont 65 000 morts qui sont à déplorer. Derrière ces chiffres, ne l’oublions pas, ce sont autant de vies brisées et de familles en pleurs, sans parler des conséquences économiques, non seulement pour la société, mais aussi pour ces mêmes familles. Si l’arrivée des vaccins annonce pour beaucoup une lueur d’espoir, d’autres s’empressent de dénoncer un « empoisonnement programmé ». Et si on arrêtait de délirer ?

 

Non, le vaccin n’est pas « contre nature »

 

Coupons court, pour commencer, à l’affirmation selon laquelle la vaccination serait le résultat de l’imagination de « savants fous », disciples du Dr Frankenstein, créateur du monstre qui porte son nom dans le célèbre roman de Mary Shelley paru en 1818. Car la vaccination repose simplement sur la capacité que possèdent la plupart des espèces animales, au sens le plus large du terme (humains, mammifères, oiseaux, poissons…) de développer une réaction immunitaire de défense face à un agent infectieux (virus, bactérie…). Si cet agent infectieux n’arrive pas à déborder notre système immunitaire, notre corps est ainsi capable de lutter contre la maladie, sans dommage durable. Si par contre l’agent infectieux est très agressif, les conséquences peuvent être très graves, allant de l’infirmité à la mort plus ou moins rapide.

 

Très tôt, dans l’histoire de la médecine, on se rendit compte que dans le cas de certaines maladies, une personne ayant survécu à une maladie était souvent épargnée lors d’une épidémie ultérieure. Cela fut notamment le cas avec la variole (alias petite vérole), une maladie d'origine virale, très contagieuse, caractérisée par des pustules recouvrant toute la peau, tuant une enfant malade sur cinq et un adulte malade sur trois. On eut alors l’idée de prévenir le mal par le mal : de façon certaine, c’est au moins dès le 16e siècle qu’on pratiqua en Chine la variolisation (aussi appelé inoculation), qui consistait soit à introduire dans des plaies, à l’aide de morceaux de coton ou de tissu, du pus prélevé sur des pustules de malades souffrant d’une forme légère de la variole, soit à faire inhaler aux personnes que l’on voulait immuniser des croûtes de boutons de variole séchées et réduites en poudre, provenant également de personnes souffrant d'un cas bénin de variole. Pratiquée aussi en Afrique, la variolisation se répandit en Europe au 18e siècle, mais n’était cependant pas sans risque, car on pouvait parfois attraper une forme grave de la maladie car l’inoculation n’était pas vraiment maîtrisée.

 

À la fin du 18e siècle, le médecin anglais Edward Jenner (1749-1823) inventa la vaccination contre la variole proprement dite, par grattage de la peau avec du pus prélevé sur des vaches atteintes de la vaccine, une forme moins grave de la variole humaine. Jenner avait en effet constaté que les personnes qui trayaient des vaches dont les mamelles étaient couvertes de pus de vaccine n’attrapaient jamais la variole humaine ! Puis, dans les années 1880, après la découverte de l’existence des microbes, les travaux du Français Louis Pasteur et de l’Allemand Robert Koch donnèrent naissance à la vaccination moderne, consistant à introduire dans le corps des agents pathogènes atténués mais néanmoins capables de provoquer la réaction immunitaire permettant de résister plus tard à une vraie attaque infectieuse. Et plus récemment la biotechnologie a permis d’améliorer encore plus le concept, en ciblant au plus près l’action des vaccins et en augmentant leur efficacité.

Dessin moderne montrant une variolisation par inhalation dans la Chine ancienne : le médecin souffle des croutes de variole dans le nez de la personne à immuniser (image Internet, DR).

Au fil des années, la science et la technique n’ont donc fait qu’affiner et sécuriser un procédé naturel inhérent à notre corps : les défenses immunitaires, véritable « assurance maladie » contre des attaques infectieuses ultérieures. Pourquoi devrait-on reprocher à la technique de s’être modernisée et sécurisée ? Il en a été de même pour la plupart des produits alimentaires ou cosmétiques bio actuels, qu’il s’agisse d’un lait bio pasteurisé, d’huiles essentielles chémotypées, de yaourt ou de bière bio, de tofu fabriqué à partir de graines de soja, d’un savon certifié, d’une eau micellaire pour le visage, etc. ! De nos jours, tout est (heureusement) encadré et contrôlé par des normes de fabrication (cahier des charges de transformation des aliments biologique, normes ISO, etc.) basées sur la science, dans des conditions d’élaboration, de stockage et de fabrication hautement sécurisées, parfois dignes d’un vrai « laboratoire », même à la ferme, et ce pour notre plus grand bien !

 

La science n’est pas l’ennemie de la Bio

 

Dans l’esprit de beaucoup (de trop…) de personnes, la science serait un ennemi à combattre, on ne sait pas trop pourquoi. Il est vrai qu’elle est capable du pire et du meilleur, une invention pouvant aussi bien servir au bien-être de l’humanité qu’à lui apporter du malheur. Citons juste l’exemple de la radioactivité, d’un côté principe de base de la bombe atomique et de l’autre de la médecine nucléaire, aidant à établir des diagnostics et même capable de guérir certains cancers. Cette dualité n’est cependant pas liée à la science, mais à l’Homme lui-même ! Inutile donc de « diaboliser » la science par principe.

 

Pour rester sur le sujet qui nous préoccupe depuis plus de 30 ans à L’Annuaire Vert, à savoir la Bio sous toutes ses formes, de l’alimentation à la cosmétique en passant par les médecines douces et traditionnelles, il faut ainsi couper court à cette idée que la science serait en particulier aussi l’ennemie de la Bio. Car c’est bien la science (les sciences…) qui a permis, depuis des décennies, et va continuer à le faire de plus en plus, de montrer le bien-fondé des principes de la Bio, tant pour le bénéfice de la santé humaine et animale que pour celui de l’environnement et de la protection de la planète. Analyses chimiques, biochimiques et biologiques, études épidémiologiques et cliniques, procédés d’extraction physico-chimiques respectant la nature… sont autant de procédés scientifiques qui servent la Bio.

 

La Bio n’est pas qu’une question de philosophie ou de principes généraux (encore moins de « croyance ») et l’empirisme (consistant à se limiter à des constatations ou au mieux à des expériences plus ou moins préparées et calculées et à en regarder les résultats au cas par cas) dont se sont parfois contentés nos aïeux n’a plus sa place dans un monde de plus en plus fragile où il est impossible de se contenter d’approximations, d’à-peu-près et autres « on verra bien ».

 

Ce n’est donc pas parce qu’on est un avocat de la Bio et que l’on connaît ses bienfaits que l’on doit donc être de facto opposé à la science et aux scientifiques. Or, c’est bien ce qui se passe vis-à-vis des vaccins chez beaucoup de personnes qui, parce qu’elles sont convaincues par les bienfaits (réels) des médecines douces, alternatives ou traditionnelles (peu importe le terme utilisé) sont par principe opposées à la vaccination.

Depuis des décennies, la science a montré qu’elle était un allié important de la Bio, et absolument pas son opposé ou son ennemi (image creativeart via Freepik).

La vaccination a sauvé des millions de personnes

 

Variole puis rage au 19e siècle, puis tuberculose, diphtérie, tétanos et coqueluche dans les années 1920, grippe et polio après la Seconde Guerre mondiale… la liste des maladies vaincues voire largement éradiquées dans de nombreux pays grâce à la vaccination n’a cessé de s’allonger au fil des générations de chercheurs.

 

Rien qu’au 20e siècle, la variole, première maladie pour laquelle un vaccin fut donc mis au point, a fait environ 300 millions de morts dans le monde ! C’est la vaccination de masse qui a permis finalement à l'Organisation mondiale de la santé (OMS) de la déclarer comme définitivement éradiquée en 1980.

 

Avant l’apparition et la généralisation du vaccin correspondant (BCG) puis des antibiotiques, la tuberculose – qui reste malheureusement une des 10 premières causes de mortalité dans le monde, avec 1,5 millions de décès par an – tuait chaque année en France environ 60 000 personnes. Dans le cas d’une tuberculose pulmonaire, les malades mourraient avec les poumons détruits de l’intérieur, crachant du sang et du pus !

 

Le tétanos était en ce qui le concerne une maladie mortelle pour 20 à 30 % des personnes atteintes (mort par contraction violente et extrêmement douloureuse des muscles, dont les poumons et le cœur et donc asphyxie et/ou arrêt cardiaque). Il tuait encore 1 000 personnes en 1945, alors que le vaccin était obligatoire en France depuis 1940. Auparavant, c’était des milliers de personnes chaque année. En 1975, le nombre de morts était tombé en France à 171 décès, et entre 2012 et 2017, seuls huit cas mortels ont été recensés. Grâce au vaccin ainsi qu’au sérum antitétanique (qui peut être administré en urgence), on ne meurt plus dans d’atroces douleurs suite à une simple blessure avec un outil ou un objet coupant souillé !

 

On pourrait citer de nombreuses maladies mortelles éradiquées grâce aux vaccins, dont la rougeole – bien loin d’être une maladie bénigne telle que supposée aujourd’hui – qui tuait chaque année environ 2,6 millions de personnes par an dans le monde au moment où un vaccin fut mis au point, à la fin des années 1960 ! En 2005, il n’y eut plus que 345 000 morts, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) en ayant recensé moins de 90 000 en 2016.

 

Citons aussi la polio (raccourci de poliomyélite), terrible maladie virale extrêmement contagieuse contre laquelle un vaccin fut découvert à la fin des années 1950. Pour certaines formes de la maladie, la mortalité pouvait atteindre 80 % ! En France, la vaccination contre la polio devint obligatoire en 1964 : tous ceux qui sont nés avant cette date (dont l’auteur de ces lignes) ont connu des personnes qui avaient survécu au virus mais avait été frappées de paralysie partielle et d’atrophie musculaire des membres inférieurs, déformés par la maladie. Des personnes obligées de marcher avec des cannes ou des attelles pendant toute leur vie !

Depuis plus d’un siècle, la vaccination a sauvé des centaines de millions de personnes dans le monde (affiches anciennes).

Comment peut-on affirmer dès lors, sans se ridiculiser, que les vaccins sont des poisons ? Comment peut-on ? Comment est-il possible que tant de personnes aient aussi peu de mémoire, confortablement installées qu’elles sont dans leur petit train-train quotidien oubliant la sécurité apportée par les avancées de la médecine moderne ? Qu’elles interrogent leurs parents et/ou leurs grands-parents, qui pourront leur dire ce qu’était la vie (… la mort) avant la généralisation des vaccins !

 

Il faut arrêter de croire n’importe quoi !

 

Innombrables sont les « fake news » ou « infox » qui circulent sur la vaccination en général et sur celle contre le coronavirus en particulier. Une des plus ridicules s’appuie sur le fait que Louis Pasteur n’aurait pas eu le droit de tester et d’administrer le vaccin contre la rage parce qu’il n’était pas médecin mais chimiste… Et alors ? N’est-ce pas le résultat qu’il obtint qui compte ? Et comme si depuis cette époque, des milliers de médecins, virologues et autres biologistes n’avaient pas aussi travaillé sur les vaccins !

 

Tout aussi irrationnelle est la rumeur que la vaccination est entre autres destinée à inoculer une puce électronique dans notre corps pour nous suivre à la trace ! Sans parler des difficultés techniques pour ce « suivi à la trace », comment peut-on sérieusement imaginer qu’un tel projet, qui impliquerait le travail de centaines de personnes (au moins) et une « montagne » de documents écrits ne verrait pas, tôt ou tard, des fuites d’informations ? Ce qui n’a jamais été le cas…

 

Parmi les reproches les plus répandus contre les vaccins figure aussi le fait que ceux-ci contiennent de l’aluminium, avec tous les risques sur la santé que cela supposerait. Il est exact que très souvent les vaccins contiennent un sel d’aluminium (hydroxyde ou phosphate), adjuvant qui permet une meilleure réponse de notre système immunitaire et donc une meilleure efficacité du vaccin. Mais aucune étude n’a jamais pu prouver que des problèmes sanitaires étaient apparus avec les quantités d’aluminium utilisées. Car ces quantités sont infimes, de l’ordre de 0,1 mg à 0,8 mg par dose de vaccin, soit des centaines de fois moins que ce que nous absorbons chaque année via nos aliments (quantité qui peut aller jusqu’à 7 mg chaque jour !). Il ne faut en effet pas oublier que l’aluminium est une substance naturellement présente dans notre environnement : il est en effet le 3e élément le plus abondant de la croûte terrestre (8,1 %), après l’oxygène (47 %) et le silicium (28%), devant le fer (5 %) et le calcium (3,6 %). Un grand nombre de plantes et autres aliments concentrent naturellement l’aluminium présent dans le sol, en premier lieu le thé, le chocolat mais aussi les champignons, les épinards, les fruits secs, les oléagineux, les algues, les crustacés et mollusques, etc. Le thé infusé contient par exemple environ 4 mg d’aluminium par litre ! En comparaison de tout cela, la dose absorbée via une ou deux injections de vaccin par an est tout simplement insignifiante !

Quelqu’un qui boit 4 grandes tasses de thé par jour absorbe quotidiennement 4 mg d’aluminium, une quantité à comparer avec les 0,1 à 0,8 mg environ d’une dose de vaccin… annuelle ! (image webandi via Pixabay).

Un des autres arguments régulièrement mis en avant par les anti-vaccins est une étude publiée en 1998 dans la revue médicale The Lancet par un chercheur britannique nommé Andrew Wakefield, qui « démontrait » un lien entre le vaccin ROR (contre la rubéole, les oreillons et la rougeole) et une certaine forme d’autisme. Mais il est apparu ensuite que cette étude – portant sur 12 enfants (douze !) – était frauduleuse, utilisant des résultats falsifiés. D’autres études publiées plus tard, dont une méta-analyse faite en 2014 sur 1,5 million de dossiers médicaux, ont conclu à l'absence de preuve d'un rôle quelconque de la vaccination dans l'autisme. La fraude révélée, The Lancet avait retiré, avec ses excuses, cette étude de ses archives, et le Dr Wakefield, ainsi que John Walker-Smith, un des principaux cosignataires de l'étude, avaient été radiés du registre des médecins britanniques ! Ce qui n’empêche pas les anti-vaccins de continuer à la mettre en avant (à l’instar des partisans de Donald Trump qui ont continué à affirmer, malgré l’absence de la moindre preuve, que les élections américaines de l’automne 2020 ont fait l’objet d’une fraude massive). Résultat : en raison de la peur suscitée chez certains parents, ces trois maladies ont refait leur apparition et rien qu’au Royaume-Uni des centaines de milliers d'enfants vivent aujourd’hui sans protection vaccinale ROR parce que leurs parents croient toujours en cette fable.

 

Autre argument des anti-vaccins : la vaccination est destinée à enrichir les « lobbies » de l’industrie pharmaceutique. Oui, les laboratoires produisant des vaccins gagnent de l’argent. Et alors ? Toutes les entreprises gagnent de l’argent, ce qui leur permet de faire des investissements et de la recherche (ô combien vitale en matière de santé), de payer leurs salariés, leurs fournisseurs. Leurs dirigeants ont de hauts salaires ? Certes, cela est vrai aussi, et leur niveau de rémunération dépasse ce que la plupart d’entre nous ne pourra jamais atteindre. Mais même les entreprises de la Bio gagnent de l’argent et – à part les petites sociétés artisanales – leurs patrons et cadres ne sont certainement pas payés au SMIC. Avant de dénoncer les « profits » de l’industrie pharmaceutique, ses détracteurs feraient bien aussi de s’intéresser aux profits, par exemple, des fabricants de smartphones (ou d’ordinateurs) qui font tout pour que leurs appareils soient obsolètes en peu de temps… Ou à ceux des réseaux sociaux et autres plateformes Internet (Facebook, Twitter, Instagram, YouTube, etc.) qui ont des millions d’utilisateurs « accros »… dont les « anti-tout » qui ne se privent pas d’utiliser ces plateformes de manière compulsive pour diffuser leurs théories !

 
L’industrie pharmaceutique gagne de l’argent en vendant ses vaccins ? Mais les entreprises qui vivent du web, largement utilisées par les anti-vaccins, également ! Pourquoi cette accusation obsessionnelle limitée aux entreprises pharmaceutiques ? (image geralt via Pixabay).

Dernier point à citer (mais il y aurait matière à écrire un livre entier !), celui concernant les nouveaux vaccins à ARN messager (ARNm) qui seraient susceptibles, toujours selon les anti-vaccins, de modifier notre ADN et donc notre patrimoine génétique. En une phrase, sans s’étendre sur le sujet : de l’ARNm introduit dans notre corps ne peut absolument pas entrer dans le noyau de nos cellules et donc modifier notre ADN. C’est tout bonnement biologiquement impossible ! Le moindre étudiant en biologie sait cela. Comme l’a déclaré le professeur d’immunologie Jean-Daniel Lelièvre dans une interview parue le 5 décembre 2020 dans le journal Le Monde, « Pour s’intégrer à notre ADN, il faudrait que cet ARN soit rétrotranscrit sous forme d’ADN, ce qui est du domaine de l’impossible. En effet, la transcription se fait habituellement de l’ADN vers l’ARN. C’est un peu comme dire qu’un enfant peut donner naissance à sa mère… On ne peut pas revenir en arrière ».

 

Vivre bio, c’est penser intelligemment et collectif !

 

Arrêtons-nous là. La vaccination n’est ni un complot pour prendre le contrôle de notre corps et de notre esprit, ni le résultat des travaux diaboliques d’émules du Dr Frankenstein. Aucune information affolante la concernant ne repose sur des faits avérés et il est facile de démontrer les mensonges de chacune d’elle, les manipulations et les raccourcis anti-scientifiques martelés à grand renfort de phrases complexes pouvant impressionner les non-spécialistes.

 

À l’inverse, la vaccination fait partie, sans aucune hésitation possible et preuves scientifiques à l’appui, des grandes avancées scientifiques en matière de santé. Encore une fois, ayons la décence de regarder dans notre passé, ainsi que l’a rappelé Philippe Sansonetti, infectiologue et professeur au Collège de France au journal La Croix en décembre 2017 : « En 1800, sur 1 000 enfants nés en France, 300 mouraient de maladies infectieuses avant l’âge de 1 an. En 1900, c’était le cas de 150 d’entre eux. Et aujourd’hui, de seulement 3 nourrissons sur 1 000 ». Comme pour toutes les maladies infectieuses trop rapidement oubliées, la vaccination contre le Covid-19 est - avec le respect des mesures barrières, dont le port du masque : voir notre article ici - notre plus grande chance de venir à bout de cette terrible pandémie qui a déjà fait trop de morts et provoqué trop de malheurs.

 

Si on est un consommateur bio, soucieux de sa santé, ainsi que de celle de nos proches et de tous ceux que nous côtoyons, alors il faut se faire vacciner. C’est un geste citoyen, parfaitement en phase avec « l’esprit bio » : l’esprit de partage, de responsabilité collective et de respect, en particulier envers toutes les personnes qui ne pourront pas être vaccinées contre le Covid-19 pour certaines raisons médicales (allergies, grossesse, etc.).

Le vaccin reste la meilleure solution pour nous protéger et protéger ceux que nous aimons ainsi que tous ceux qui participent à notre vie sociale et professionnelle (image jcomp via Freepik).

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